Nos trekkings
Voici ci-dessous les différents treks que nous pouvons vous proposer. Nous pouvons vous organiser un transfert entre Lima et Huaraz, ainsi qu'un programme d'acclimatation afin que votre marche se déroule sans encombres. Il est également possible d'intégrer les différents treks à un voyage comprenant d'autres étapes afin de créer un voyage "mixte".
Nos Voyages Aventures
Trek à Llanganuco et Laguna 69
2 joursCordillère Blanche
Niveaux de difficulté de nos treks
Facile | Ce n’est pas vraiment une marche mais plus une balade, max 2 heures, sans trop de dénivelé et à une altitude pas encore trop élevée. | |
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Facile à modéré | On parle toujours d’une balade, mais déjà plus haut en altitude. Ou alors d’une marche sans trop de dénivelé et pas encore trop haut en altitude. C’est en général une sortie à la demi journée ou à la journée | |
Modéré | Marche à la demi journée ou à la journée complète. Il peut y avoir déjà du dénivelé, dans ce cas on est pas encore trop haut. Et si on est à plus de 4000 mètres, ça sera une marche sans trop de dénivelé. Les trek sur plusieurs jours sont très peu nombreux avec un niveau “modéré” | |
Modéré à difficile | Ça commence à grimper! marche à la journée complète, à plus de 4000 mètres avec un certain dénivelé. Ou alors trekking sur plusieurs jours, de moins d’une semaine, sans forcément passer de col tous les jours. | |
Difficile | Trekking de plus d’une semaine, durant lequel vous serez presque toujours entre 4000 et 5000 mètres d’altitude, avec presque tous les jours un col à passer. Chaque journée du trek évaluée séparément n’est pas forcément difficile, mais la répétition des efforts durant plus d’une semaine rendra ce trekking difficile. Il existe quelques marches à la journée classées “difficile”. C’est du à l’altitude, au dénivelé et au kilométrage élevé. |
Acclimatation avant un trekking
Avant de vous lancer dans un trekking sur plusieurs jours, il est très important d’être suffisamment acclimaté à l’altitude. Idéalement, il faut avoir passé au moins 3 à 4 jours à plus de 3000 mètres et avoir fait deux marches à environ 4500 mètres d’altitude. Il est très risqué de passer une nuit sous tente à plus de 4000 mètres sans avoir auparavant testé son acception à l’altitude en faisant des sorties à la journée. Le fait de s’habituer à l’altitude n’est pas une question d’âge ou de condition physique. Cela peut être aléatoire, provenir de l’état physiologique du moment de l’individu, de son état de fatigue, etc. Partir en trekking dès le début de son voyage au Pérou, après avoir enchaîné des heures de vol et de bus est fortement déconseillé sans auparavant respecter un peu de repos et effectuer un séjour d’acclimatation adéquat. Si vous planifiez un voyage au Pérou, prévoyez d’effectuer votre trekking en fin de voyage. Le fait d’avoir voyagé en altitude (par exemple Cuzco, Titicaca, Arequipa) et de repasser brièvement (2 à 3 jours) par la côte avant de monter à Huaraz n’est pas un problème pour votre acclimatation. Les bienfaits de votre séjour en altitude ne seront pas perdus.
Pourquoi ne pas passer quelques jours à notre lodge Domos Cordillera Blanca afin de vous acclimater en douceur ?
UN TREKKING RESPONSABLE
Ce que cela signifie...
Ne pas mentir! Expliquer clairement ce que l’on va organiser puis organiser réellement ce qu’on a expliqué.
Organiser des trekkings avec des guides officiels. Plusieurs cas de guides « pirates » ayant abandonné leur groupe dans la montagne après avoir rencontré un problème ont été rapportés à la police touristique.
Ne pas accepter dans un trekking des participants n’étant pas acclimatés à l’altitude.
Payer correctement le personnel et leur donner leur salaire le jour où un service se termine. Encore une chose qui paraît évidente! Mais combien de fois en croise des muletiers, guides ou cuisiniers n’ayant pas été payé depuis six mois. C’est facile de casser les prix en travaillant comme ça.
Ne pas surcharger les ânes pour le portage du matériel. Un âne surchargé termine souvent en sang, voire meurt en plein travail. No comment…
Partir en trekking avec un cheval de secours, sachant qu’il n’y a pas d’hélicoptère de sauvetage en montagne dans la région. Le cheval est un peu notre ambulance en cas de problème.
Prendre un caisson hyperbare sur certains trekkings ou groupes estimés «à risque».
Partir en trekking avec un téléphone Satellitaire, car dans la montagne il n’y a en général pas de réseau cellulaire.
Proposer une nourriture suffisante, équilibrée et bonne.
Donner à manger en suffisance à notre staff, ça parait évident mais si on le précise c’est que beaucoup d’agences très bon marché ne se soucient pas de ça.
Partir en trekking avec du matériel de bonne qualité.
Générer le moins possible de déchets plastiques. Ramener toutes les ordures à Huaraz, ça aussi ça parait évident, cependant on trouve encore beaucoup trop de poubelles jetées par le staff mal payé d’agences peu responsable.
Travailler avec du personnel de confiance, nous ayant prouvé par leur comportement qu’ils sont responsables, fiables et honnêtes.
Au final, pour le client c’est difficile de faire le tri entre les différentes offres, peser le pour et le contre, en fonction de son porte-monnaie ou de sa conscience. C’est pas trop qu’on a pas les moyens finalement, mais c’est parfois alléchant et excitant de penser qu’on a payé moins que l’autre, si possible en ayant marchandé… mais à quel prix au final, au dépend de qui?